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Coucheries blogglandiennes et autres constatations de fin d'année
Que de zombies à Bloggland !
Suivez quelques liens dans les blogrolls, et vous tomberez immanquablement sur des figures de proues de la grande époque, passés de vie à trépas depuis. Pourquoi, comment...
Quand on a eu la (mal)chance d'être impliquée, plus ou moins, dans la vie de certains blogueurs, on arrive à lire entre les lignes, comprendre les motivations des uns, les relations des uns et des autres.Quand on a soi-même subi les aléas des rencontres blogglandiennes, on connait la motivation de ceux qui ont disparu, changé d'identité ou migré ailleurs pour se préserver.
Bientôt 3 ans que je cotoie cette plateforme, de loin en loin, parfois à corps perdu, parfois en diagonale... 3 ans de rencontres, d'amitiés nouées, d'histoires de cul plus ou moins réussies, d'expérimentations diverses, de délires plus ou moins sains.
Certains restent dans mon coeur et dans ma vie. Certains ont disparu, définitivement, et j'aimerais parfois savoir ce qu'ils sont devenus.
Trois ans. Une paille au niveau d'une vie. Et pourtant, ce sont sans doute les 3 années les plus intenses de ma vie.
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Commentaires
Je crois...
... que pour moi, et sans doute pour d'autres, blgguer est le moyen de 'crier' sur le papier un sentiment instantané, un truc tripal, une colère, une peine, comme un enfant capricieux qui crie à sa mère "T'es plus ma maman !". C'est grâce à ces cris jetés sur le papier que l'esprit reprend le contrôle, que la raison l'emporte sur l'émotion et qu'on guérit, ou qu'on digère. C'est ainsi qu'il faut me lire, en tout cas...
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que depuis un an et des zombies j’en connais déjà quelques uns et quelques unes… En fait ce qui me surprend et me surprendra toujours c’est cette faculté qu’ont certain[e]s à se bouffer le foie à la fin octobre [ou le lundi] en criant "jamais, plus jamais" et à se faire des mamours début novembre [ou le mercredi]. On a beau être sur un espace virtuel mais ça, ça m’a toujours sciée ! Tailler des costards à tire larigot et avoir si peu de temps après… Bref… Il est émouvant ce billet :)