• Je l'apprivoise, je la domine, je la subis souvent, je la maîtrise parfois...

    Elle, la douleur, ma meilleure ennemie... 


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  • Petit Beurre est gentil, et je sens que la nature de notre relation évolue, lentement. Rien de flagrant, pas d'envolées romantico-gnangnan-guimauve, notre relation reste basée sur le physique et la satisfaction d'instincts primaires.

     
    Très agréable, tout de même, parce qu'il est sexy en diable, ce garçon, et qu'il sait bien satisfaire mes besoins primaires à moi.

    Mais, même s'il se connecte furtivement entre 2 avions pour me demander si tout va bien et faire "de gros bisous à ma chérie", il n'en reste pas moins qu'un plan Q, amélioré, certes, mais un plan Q tout de même.

    Et je me demande si ce sera suffisant... 

     


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  • Tombé sur ce clip, ce matin, je n'ai retenu ni le nom de la chanteuse, ni le titre de la chanson, juste ce refrain... "Et j'essaie de t'oublier avec un autre..."

    Et tu réapparais, parce que tu fais partie de mon horizon, même si tu en disparais parfois longtemps.

    Tu réapparais avec ton amitié en bandoulière, avec ces mots vides de sens, que tu ne ponctues plus de mots doux, m'imposant le manque cruel de ces quelques lettres qui faisaient briller mes yeux.

    Et j'essaie de t'oublier avec un autre. Avec d'autres, pour être exacte. Parce qu'un seul homme ne saurait combler le vide que tu as laissé en moi, quand tu as décidé que nous n'avions pas d'avenir ensemble.

    Mais ça ne marche pas, au fond. Et ces hommes, si doux, gentils et tendres soient ils, me ramènent toujours à l'amer constat que celui que je veux, moi... c'est toi.

    Et j'essaie de t'oublier, pourtant, avec d'autres...

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  • ... gache mes nuits et qu'en ouvrant les yeux, j'ai l'impression de les avoir fermés l'instant d'avant.
    ... me fait prendre 50 ans d'un coup et que je me déplace au ralenti, courbée par la douleur, le souffle court.
    ... me met de larmes dans les yeux et me rappelle que oui, je suis malade et que non, ça n'était pas un cauchemar.
    ... remplace la musique en moi et fait de mon corps un poids, une croix, tout aussi torturé que mon âme, au fond.

    J'irais bien me blottir au fond de ma couette, l'esprit et le corps abruti des drogues dures que j'ingère à contre coeur.

    Mais voilà... mais voilà...
     


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  • Si mes jérémiades ne vous plaisent pas, personne ne vous demande de les lire.
    S'il vous faut du bonheur en barre, de l'amour en dosettes, abonnez-vous à Harlequin.

    Mais putain, lachez-moi... 

     


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