• Je suis une fille. Une fille complexe, mais c'est un euphémisme...

    Je suis une fille, donc. Et je n'envisage pas de relation sans tendresse, sans douceur, sans respect. Comme tout le monde, au fond. Parce que le cul pour le cul, s'il n'est pas roulé dans la farine la tendresse, n'a que peu d'intérêt.

    Alors pourquoi quand, fort de ces prérogatives, mon Petit Beurre m'appelle "ma Chérie", "ma jolie", "mon ange", mon corps vibre t'il moins que lorsqu'il laisse échapper un "ma salope" ?

    Hein, pourquoi ?  


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  • Faire abstraction. Oublier qu'au bout du chemin, il y a ma perte. Ne penser qu'à cette main qui tient la mienne.

    Oublier la douleur, les aiguilles, les blouses blanches et les sourires désolés. 

    Faire abstraction.

    Noir et blanc, fondu enchaîné... Enchainer. Encore. Déchainer la bête, la laisser hurler tout son soul, la laisser vomir sa rage, sa peine, ses désirs.

    Vomir. Se vomir.

    Mourir, un peu...


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  • Un de ces soirs, vous pourriez m'y croiser...

    http://www.autrement-chez-soi.com


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  • Jusqu'aux dents.

    La poudre dans une poche, les douilles dans l'autre, un couteau entre les dents et mon bardat sur le dos.

    Mais j'avance, hein, j'avance... 

     


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  • Si on disait que l'année écoulée n'a pas existé ?
    Si on disait que nous sommes en mars 2006, en plein coeur de notre si belle histoire, que tu n'envisages pas une seconde te passer de moi et que tu m'écris 8 mails par jour pour me le dire ?
    Si on disait que ma vie n'avait pas encore basculé, que j'étais toujours sereine, en pleine forme, et que cette maladie à la con, au final, continuait à se taire ?

     

    Douze mois après, tout est cassé. Et mon coeur saigne, encore. Et moi je t'aime, encore. 


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