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Réminiscence
L'odeur du café au petit matin.
Le feu qui brulait au fond de mon ventre.
La laine de son caban où j'appuyais mon front.
Le son de sa voix qui me berçait.
Son bras fort autour de ma taille.
Le roulis du train et la sérénité qui régnait entre nous malgrè la foule agitée tout autour.Je n'ai pas rêvé. Et cette sérénité ne me quitte pas.
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Commentaires
2AngyJeudi 4 Février 2010 à 07:36Je ne rêve pas, Marc...
Je vis. Et si double soit elle, cette vie n'en est pas moins savoureuse, primordiale, et réelle.3MarcJeudi 4 Février 2010 à 08:28Double trouble...
Tu fais une bien troublante funambule...De celles qui dansent sur nos cerveaux, escarpins en bataille, plantant tes talons dans nos lignes de faille, nous donnant envie de connaitre et tes ooh ettes bas...Tomorrow never knows...
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Tu reves de chemins detraverse,de sentiers inconnus...where the streets have no name...de quitter cette route trop balisée...tu réves d'inconnu...de troubles nouveaux,inattendus...d'électricité...d'illicite...de play with fire...Troublante Angy...ange et démon...cérébrale et animale...