• Passer de bras en bras pour oublier la blessure. Y trouver une réponse à la douleur, l'effacer, l'oublier. Se rendre compte, au final, que rien n'a cicatrisé, et qu'une fois débarassée des couches de pansements collées là au fil des années, la blessure saigne encore.

    Accepter ce que j'ai perdu, savoir que rien ni personne ne pourra me le rendre.

    Amertume.

    Il m'aura fallu 20 ans pour comprendre.

    Combien pour faire le deuil ?

     


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  • Garder son sang-froid, respirer juste assez fort pour se sentir vivante, pour ne pas réveiller de douleur, pour ne pas faire fuir le bonheur.

    Respire.

     


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  • Je me perds, je me noie, je mets à mal mon ego fatigué en me donnant à des hommes qui ne savent pas me recevoir, je feins l'étonnement quand je me fais avoir, je pleure et je vomis sur cette femme que je suis...

    Telle une camée en manque, je vais chercher ma dose d'amour dans les bas-fonds de la netosphère et je m'étonne de n'y trouver que la fange, que le noir, que le pire, quand moi, je voudrais le meilleur.

    Rien n'y fait, je ne t'oublie pas. 


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  • Je ne suis pas morte. Ce qui ne tue pas rend plus fort, parait-il. Je n'y suis pas encore, mais on dit que le temps panse les blessures.

    Tu parles. A trop se bercer d'illusions, j'ai pris la réalité, froide, dure, inamovible, en pleine face.

    Et je suis encore sonnée... 


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  • Pas le temps, de toute façon. Mais tu fais chier, tu sais ?

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